PADC RDCongo
Projet de valorisation des produits forestiers non ligneux en faveur des femmes vulnérables, y compris les femmes et jeunes filles autochtones pygmées de Kalonge
Informations
- Typologie
- Organisation non gouvernementale
- Nom
- ALIKA
- Prénom
- Agnès
- coordination@padc-rdcongo.org
- Fonction
- Coordonnatrice
- Adresse
- 259, Boulevard Patrice-Emery LUMUMBA, Commune d'Ibanda, Ville de Bukavu, RDC
- Pays
- République démocratique du Congo
- Site web
- Site web
- Présentation de l'organisation
- L’organisation PADC RDCongo (Programme d’Appui au Développement Communautaire) est une Organisation Non Gouvernementale congolaise créée le 7 février 2009. Elle est apolitique et non confessionnelle, enregistrée sous le N°JUST./SG/20/3155/2018 et possédant tous les documents légaux nécessaires à son fonctionnement sur toute l’étendue de la République démocratique du Congo.
Elle a pour missions :
• Mettre en œuvre des mécanismes de réduction de la pauvreté par l'accompagnement des initiatives locales de promotion socio-économique ;
• La défense des droits humains en général et en particulier les droits de la femme, la lutte contre toute sorte de violence faite à la femme et la promotion de l’égalité des sexes ;
• Contribuer aux efforts de protection de l'environnement par la mise sur pied des activités relatives à la protection et à la réhabilitation des écosystèmes ;
• Le Monitoring de protection et contribution aux efforts de respect des droits humains, par un programme de plaidoyer, l'accompagnement juridique et judiciaire des communautés locales victimes des violations de leurs droits ;
• La sécurité alimentaire, la lutte contre la malnutrition, l'amélioration de l'habitat, eau-hygiène et assainissement, la réhabilitation et la construction des infrastructures locales et communautaires.
PADC RDCongo intervient dans les domaines suivants :
• Protection générale (et monitoring) ;
• Droits humains ;
• Sécurité alimentaire ;
• Education ;
• Santé ;
• Environnement et Développement durable.
EXPERIENCE ANTERIEURE
L’organisation PADC RDCongo a exécuté des projets au Sud-Kivu, Nord-Kivu et Ituri dans l’autonomisation économique des femmes, entreprenariat des femmes et des jeunes, prévention des VBG, cohabitation pacifique et prévention des conflits, sécurité alimentaire ; avec des financements d’INTERSOS, DCA, EDC, IES, AVSI, Skills4Aid, etc. En 15 ans d’existence, l’ONG PADC RDCongo a acquis une solide expérience dans le domaine d’encadrement des femmes et des jeunes dans l’entreprenariat et l’autonomisation économique. Cette expérience a été acquise suite l’exécution de projets favorisant l’autonomisation économique des femmes dans les provinces du Sud-Kivu, Nord-Kivu et Ituri. Actuellement par exemple, nous exécutons un « projet d’amélioration des conditions socio-économiques par les AGR pour une autonomisation des filles mères de 18 à 25 ans vivant dans les sites des déplacés avec des enfants de moins de 5 ans à Minova, Nyiragongo et Mambasa » avec un financement de Skills4Aid. Ce projet touche 750 filles mères de 18 à 25 ans vivant dans les sites des déplacés, Familles d’accueil et Retournées avec des enfants de moins de 5 ans. Elles sont encadrées en entreprenariat et Activités Génératrices de Revenu (AGR) pour leur autonomisation.
Nous encadrons également actuellement dans la ville de Bukavu 300 femmes micro entrepreneures que nous formons en entreprenariat avec l’appui du projet TRANSFORME, qui est un programme du gouvernement congolais financé par la Banque mondiale pour la croissance économique des femmes micro entrepreneures. Dans ce programme, notre organisation est parmi les organisations sélectionnées au niveau local pour l’accompagnement des femmes micro entrepreneures.
Nous exécutons également actuellement sur fonds propres un projet d’autonomisation socioéconomique des 1000 ménages, dont 500 ménages dirigés par les femmes à travers l’agrobusiness dans le groupement de Kalonge en territoire de Kalehe.
Cette liste des projets d’autonomisation des femmes que nous avons déjà menés n’est pas exhaustive.
CONSIDERATIONS ETHIQUES ET CONTROLE INTERNE
L'administration et la comptabilité de PADC RDCongo sont soumises à une série d'enquêtes internes, de procédures d'audit interne et de surveillance. Elles sont également soumises à des audits externes par des cabinets d'audit qui ne sont impliqués dans aucun conflit d'intérêt avec l'organisation. Les audits externes se font à la fin de chaque exercice et particulièrement à chaque exécution de projet. Toutes ces mesures de contrôle ont pour objectifs d’assurer la protection et la gestion rationnelle des biens et des ressources de l’organisation, d’assurer le respect des lois et réglementations et des engagements contractuels. Sur ce, elles sont mises en œuvre par les responsables des services à l’égard des activités qu’ils encadrent. Ainsi le contrôle interne est mené à tous les niveaux, dans tous les départements et par tout le monde, et il peut être déclenché suite à une alerte. Dans un tel contexte, compte tenu de l'importance de ses domaines d'activités et de ses projets, l’organisation PADC RDCongo prévient les risques de corruption et de fraude en rapport avec ses activités, ses ressources et ses projets.
POLITIQUE EN MATIERE DE PROTECTION CONTRE L’EXPLOITATION ET LES ABUS SEXUELS
PADC RDCongo applique une tolérance ZERO en matière d’exploitation et abus sexuels. L’ONG organise couramment des renforcements des capacités de ses staffs contre les exploitations et abus sexuels. Dans chaque bureau et sous-bureau de PADC RDCongo, des mécanismes de plainte sont opérationnels et des points focaux ciblés. Des boîtes à plaintes sont installés pour que toute victime puisse y déposer sa plainte en cas d’abus ou exploitation sexuelle. L’organisation intègre la thématique sur l’exploitation et abus sexuels lors de ses sensibilisations dans les zones d’interventions afin d’informer la communauté des différentes mesures à prendre, surtout les mécanismes mis en place pour signaler tout cas d’EAS.
L'organisation est très active dans les clusters Protection, sécurité alimentaire et beaucoup de groupes de travail.
- Rôle de l’organisation dans le projet
- Partenaire d'exécution du projet
Projet
- Titre du projet
- Projet de valorisation des produits forestiers non ligneux en faveur des femmes vulnérables, y compris les femmes et jeunes filles autochtones pygmées de Kalonge
- A quel(s) axe(s) de l'appel à projets Cosmétopée votre candidature répond ?
- Axe2 – Initiatives locales: la cosmétopée, source de développement
- Description détaillée des actions que vous prévoyez de mener dans le cadre de votre projet
- Le projet a comme objectifs spécifiques :
- Assurer un revenu aux femmes vulnérables, y compris les femmes autochtones pygmées à travers des activités génératrices de revenu respectueuses de l'environnement ;
- Promouvoir et développer la filière des produits forestiers non ligneux (PFNL) par la transformation, la conservation, le conditionnement et la commercialisation ;
- Contribuer à la gestion durable des PFNL tout en favorisant la conservation de la biodiversité.
Pour atteindre ces objectifs, le projet prévoit de mener les actions suivantes :
• Sensibiliser les femmes bénéficiaires et les leaders locaux : la sensibilisation se fera dès que le financement sera octroyé. Elle se fera en collaboration avec les autorités locales dans le but d’annoncer aux bénéficiaires et à la population les modalités du projet, ses objectifs, son calendrier, son bailleur, etc.
• Identifier et sélectionner 120 femmes bénéficiaires dont au moins 60 femmes autochtones pygmées. Cette opération devra se faire dans une approche participative à travers laquelle les femmes, les filles, les femmes vivant avec handicap, les femmes pygmées seront impliquées. Cette activité se fera avec l’accompagnement des autorités locales.
• Former les bénéficiaires en techniques modernes de transformation des PFNL.
• Sensibiliser les bénéficiaires et la communauté locale sur la gestion durable des PFNL.
• Installer une unité de transformation des PFNL en faveur des 120 femmes bénéficiaires.
• Remise de l’unité de transformation aux bénéficiaires ;
• Structurer les femmes bénéficiaires en coopérative dans le but de pérennisation et formalisation de leurs activités.
• Assurer un suivi et l’accompagnement technique et commercial des femmes bénéficiaires dans l’exploitation, la transformation et la commercialisation des PFNL, en leur favorisant l'accès aux marchés pour l'écoulement de leurs produits.
Le projet sera exécuté dans le groupement de Kalonge, une zone forestière située dans le territoire de Kalehe au Sud-Kivu, République démocratique du Congo.
- Quels seront les bénéficiaires des actions menées?
- 120 femmes rurales vulbérables dépendantes de la forêt dans la zone de Kalonge en territoire de Kalehe, au Sud-Kivu.
- Quels sont les résultats et impacts attendus de votre projet ?
- Resultats et impacts :
1. Les femmes bénéficiaires ont une activité génératrice de revenu et gagnent au moins 100$ par mois
• 120 femmes vulnérables augmentent leurs revenus et renforcent leur résilience aux crises économique et alimentaire grâce à des activités génératrices de revenus favorables à l’environnement à savoir l’exploitation, la transformation et la vente des PFNL.
• Les femmes bénéficiaires gagnent 100$ par mois grâce à l’exploitation, la transformation et la commercialisation des PFNL.
2. Les communautés locales sont sensibilisées sur la conservation et à la gestion durable des PFNL
• 4 campagnes de sensibilisation sur la gestion durable des PFNL sont organisées ;
• 4 émissions diffusées sur la radio locale sur les PFNL ;
• 10 000 personnes touchées par les campagnes de sensibilisation sur les médias.
3. Promouvoir et développer la transformation, la conservation et le conditionnement des PFNL
• Une unité de transformation implantée en faveur des femmes bénéficiaires ;
• 120 femmes sont formées en transformation des PFNL, en entreprenariat et gestion durable des PFNL ;
• Les femmes bénéficiaires sont structurées en coopérative pour la formalisation de leurs activités.
Les femmes bénéficiaires verront leur situation économique et celle de leurs ménages s'améliorer grâce à la valorisation des PFNL. Elle verront également leur sécurité alimentaire s'améliorer car les PFNL sont consommés traditionnellement (sans transformation moderne) comme supplémént alimentaire, déssert ou épices.
Ce projet pourrait également avoir un impact sur la conservation de la biodiversité, en particulier des arbres car grâce aux sensibilisations les bénéficiaires et la communauté comprendront qu'ils peuvent tirer profit de leur forêt en exploitant durablement les produits forestiers non ligneux et non en abattant les arbres.
- Quelle méthode de suivi et d'évaluation prévoyez vous de mettre en place pour que ces résultats et impacts soient optimisés?
- Les différentes activités retenues dans le cadre de ce projet se feront selon une gestion orientée vers les résultats. On mettra en place une ou plusieurs enquêtes post-exécution afin d’évaluer les améliorations intervenues grâce aux formations des femmes bénéficiaires, aux sensibilisations et aux activités de transformation des PFNL. Les enquêtes de suivi-évaluation permettront de voir si les objectifs de départ ont été atteints. Les indicateurs de performance du projet seront communiqués grâce aux rapports réguliers et bulletins d’information que PADC RDCongo fournira au bailleur et à d’autres partenaires. Ces rapports indiqueront le nombre de bénéficiaires touchés par les formations et les sensibilisations, la quantité et la nature d’équipements acquis et fournis aux bénéficiaires, la quantité des PFNL transformée et commercialisée, etc.
Le suivi des activités sera fait à travers un suivi de proximité par l’équipe de PADC RDCongo conjointement avec les autorités locales, le comité des bénéficiaires et l’équipe qui sera déléguée par le bailleur. Les données rélatives aux activités du projet seront collectées et rapportées mensuellement par PADC RDCongo. Des rapports trimestriels et semestriels (Narratifs et financiers) seront transmis au bailleur et un rapport final à la fin du projet.
Plusieurs types de suivi seront mis en place :
a) Un suivi de l'état d'avancement du projet évaluera continuellement l'impact et les changements apportés par le projet, selon les résultats. Afin de pouvoir suivre ces résultats, une référence initiale sera définie dans ce projet pour mieux constater l'évolution en comparant les résultats du suivi avant-projet et après-projet.
b) Un suivi financier examinera si les dépenses sont conformes aux prévisions du projet tout en analysant le coût réel des activités et des matériels par rapport à ceux prévus dans le budget. Ceci sera fait par le biais d'un suivi budgétaire en coordination avec l'équipe du département Finance et Administration.
c) Un suivi des bénéficiaires analysera la perception et la satisfaction des bénéficiaires par rapport avec la formation, la sensibilisation, les matériels reçus, etc. En tant qu'acteurs clés du projet, les bénéficiaires auront la parole pour donner leur point de vue par rapport au projet.
Une enquête initiale fournira un état des lieux avant le lancement des activités du projet et donnera les valeurs pour les indicateurs avant le début des opérations. Elle fournira des données de référence auxquelles on comparera les données des enquêtes finales.
Plusieurs méthodologies seront utilisées pour réaliser le suivi et évaluation :
Entretiens individuels
Enquêtes/entretiens avec les femmes déplacées bénéficiaires
Entretiens avec les comités des déplacés
Entretiens avec les autorités locales
Observation
- Sur quelle durée prévoyez-vous de mettre en place votre projet? Quelle en sera la date de démarrage?
- Le projet durera 9 mois. On compte le démarrer au début de 2025, soit au plus tard le 15 janvier.
- Quelles sont les principales étapes de votre projet?
- a) Etapes ou composantes principales du projet
Le projet comprend 3 composantes : (i) la sensibilisation ; (ii) la formation ; (iii) l’installation de l’unité de transformation, couplée au démarrage de la transformation des PFNL et à la structuration des bénéficiaires en coopérative.
Composante 1. Sensibilisation
Dans cette composante le projet prévoit de mener des sensibilisations auprès des autorités locales, des femmes bénéficiaires et du public sur le projet. Ils devront être informés sur le bailleur, le financement, les objectifs du projet, la nature de l’aide, etc. On compte également mener des sensibilisations sur la consommation et la gestion durable des PFNL. Ces sensibilisations se feront par des focus groupes et par la diffusion d’émissions et spots publicitaires sur les radios locales.
Composante 2. La formation
Le projet adopte une approche d’autonomisation des femmes à travers des formations qui leur permettront de devenir autonomes et de gagner des revenus. Les bénéficiaires seront formées en plusieurs thématiques :
Transformation des PFNL : cette formation prendra 3 mois avec des thématiques techniques sur la transformation et le conditionnement des PFNL, la gestion durable des PFNL. Elle se fera par groupes de 40 bénéficiaires. La formation théorique sera accompagnée des exercices pratiques de transformation des PFNL.
Entreprenariat : les bénéficiaires seront formées pour acquérir les bases élémentaires de l’entreprenariat, de la gestion financière et les notions de commerce et de marketing. L’objectif est de professionnaliser les bénéficiaires dans l’entreprenariat à travers le métier des PFNL.
Composante 3. L’installation de l’unité de transformation, couplée au démarrage de la transformation des PFNL et à la structuration des bénéficiaires en coopérative
Il s'agit spécifiquement d’installer une unité de transformation en faveur des bénéficiaires. Une fois l’unité installée, les femmes bénéficiaires démarreront effectivement les activités de transformation des PFNL et leur commercialisation. Ensuite on démarrera le processus de formalisation de leurs activités à travers la structuration des femmes en coopérative. Une coopérative sera créée et des documents légaux acquis. Un comité de gestion sera mis en place à travers un vote et ensuite les membres du comité recevront une formation sur la gestion d’une coopérative.
- Quelles seront les ressources humaines impliquées?
- Ce projet sera dirigé par un Chef de Projet, qui devra être un spécialiste des produits forestiers non ligneux et avoir déjà dirigé au moins un projet similaire. Il aura un assistant pour l'appuyer dans la direction du projet.
Il y aura également une équipe technique comprenant un spécialiste en transformation agroalimentaire ou en transformation des PFNL qui sera chargé de former les bénéficiaires en techniques modernes de transformation des PFNL et d'assurer leur suivi et accompagnement techniques. Il aura également un assistant. A cette équipe on ajoutera deux animateurs chargé d'assurer la moblisation communautaire dans le cadre du projet.
- Quels seront les moyens techniques sur lesquels vous vous appuierez pou réaliser votre projet
- Les moyens techniques sont exclusivement les équipements et matériels qui seront utilisés pour la formation et ceux qui seront octroyés aux femmes bénéficiaires après leur formation. Ces équipements sont entre autre:
• 1 moulin à meules pour la mouture des PFNL.
• Une unité de production d'énergie solaire (une petite unité photovoltaïque)
• 2 cuisinières.
• Marmites.
• Emballages et étiquettes.
• 1 torréfacteur.
• Tables.
• Armoires et étagères.
• Bâches en plastique pour étaler les amandes et les noix (sert d’interface entre la terre et les produits à sécher).
• Caisses ou sacs pour le transport des produits.
• Bassines plastiques.
• Fûts plastiques avec couvercles.
• 20 seaux simples (en plastique dur, contenant 15 à 20 litres).
• 20 bidons vides (20 litres).
• Couteaux.
• 500 masques.
• 500 gants en plastique.
• 10 blouses et bonnets en tissu pour le personnel.
• 1 pasteurisateur.
• 1 thermomètre plongeur.
• 2 balances.
• Réfrigéteur
- Quelles sont les organisations institutionnelles avec lesquelles vous travaillerez dans le cadre de votre projet?
- Dans le cadre de ce projet on travaillera avec l'entité territoriale décentralisée, à savoir le groupement de Kalonge ainsi que la coordination de l'environnement au niveau local.
- De quelle manière assurerez-vous l'éthique de votre projet?
- L'administration et la comptabilité de PADC RDCongo sont soumises à une série d'enquêtes internes, de procédures d'audit interne et de surveillance. Elles sont également soumises à des audits externes par des cabinets d'audit qui ne sont impliqués dans aucun conflit d'intérêt avec l'organisation. Les audits externes se font à la fin de chaque exercice et particulièrement à chaque exécution de projet. Toutes ces mesures de contrôle ont pour objectifs d’assurer la protection et la gestion rationnelle des biens et des ressources de l’organisation, d’assurer le respect des lois et réglementations et des engagements contractuels. Sur ce, elles sont mises en œuvre par les responsables des services à l’égard des activités qu’ils encadrent. Ainsi le contrôle interne est mené à tous les niveaux, dans tous les départements et par tout le monde, et il peut être déclenché suite à une alerte. Dans un tel contexte, compte tenu de l'importance de ses domaines d'activités et de ses projets, l’organisation PADC RDCongo prévient ainsi les risques de corruption et de fraude en rapport avec ses activités, ses ressources et ses projets. Par dessus tout cela, nos avons un code de bonne donduite et une politique de lutte contre la fraude et la corruption qui guident notre travail et nous permet de garder une bonne éthique dans notre organisation, dans nos projets et envers nos partenaires.
- Quel est le budget de votre projet?
- Le projet coûtera 33800 euros. Ce budget est réparti comme suit : • Rémunération du personnel du projet : 5000€, • Formation en transformation des PFNL (repas et transport des participantes, matériels de formation, location salle de formation, …) : 4500€, • Achat des matériels pour la formation et des équipements à octroyer aux femmes bénéficiaires : 12400€, • Enregistrement des bénéficiaires, sensibilisations, émissions radio : 1100€, • Création et formalisation de la coopérative des femmes bénéficiaires : 1800€, • Suivi et Evaluation : 2000€, • Visibilité du projet et de ses résultats (photographe, vidéaste, médias, évènements de lancement, etc.) : 2000€, • Consultances (experts) : 1300€, • Charges courantes (bureau, internet, frais bancaires, etc.) : 1700€, • Frais de mission (transport, hébergement et restauration) : 2000€ La contribution locale est de 3800€ tandis que celle du bailleur est de 30 000€.